J'ai lu récemment un article sur les bienfaits du rêve. Je ne parle pas des rêves de nuit où le conscient laisse place au subconscient, mais des rêves éveillés.
"Donner la place à nos états d'âme et à nos méditations serait, selon le psychiatre Christophe André, une porte ouverte vers le bonheur."
Souvent, on entend les parents dirent aux enfants: "arrête de révasser", "cesse de t'écouter", "descends de ton nuage", etc. La société a fait de nous des machines: boulo, métro, dodo. Il faut vivre dans l'avenir, ne pas se retourner sur le passé et éviter de se laisser aller au moment présent. C'est un leurre. Où peut-on trouver sont bonheur sur un lendemain incertain?
Quant aux jeunes, ils préfèrent surfer sur le net, faire du sport ou autre loisirs sans jamais "perdre" son temps à rêver. Car pour eux, c'est une perte de temps, ils le conçoivent comme les adultes: rêvasser = oisiveté.
Mais, "l'excès d'activité engendré par nos sociétés matérialistes peut être pathologique et nous mener à la déprime."
Chaque chose produite ont d'abord été rêvée. C'est la première étape. Il faut imaginer pour créer. Sinon, on ne crée jamais rien de solide. "La rêverie booste l'action."
Ainsi, il est nécessaire de s'écouter, de méditer et surtout de rêver. Que ce soit de rêver à l'impossible (devenir incroyablement riche), inventer des scénarios (que ce soit de s'imaginer vivre une aventure ou de rencontrer l'amour), ou encore de rêver à tout ce qui nous remonte le moral, tout ce qu'on aime, c'est cela être humain. Ensuite, c'est vital.
Parfois, l'intériorisation passe par le fameux journal intime. Coucher ses mots, ses idées, ses sensations, pour mieux se connaître et savoir comment agir.
N'écoutez plus les personnes pessimistes, les matérialistes, les terre à terre déprimant, et rêvez, rêvez à ce que vous voudrez, à ce que vous aimez. Plus vous rêverez et plus vous vous rapprocherez de la vérité.
Pour trouver son bonheur, il n'y a pas de miracle, il faut rester positif, être conscient de soi et des autres, et mettre à profit les petits moments perdus (comme le fait d'attendre, que ce soit à un rendez-vous, dans les embouteillages, ...), et surtout ne jamais se laisser abattre.
Alors, méditer, rêver et vous verrez...
"Donner la place à nos états d'âme et à nos méditations serait, selon le psychiatre Christophe André, une porte ouverte vers le bonheur."
Souvent, on entend les parents dirent aux enfants: "arrête de révasser", "cesse de t'écouter", "descends de ton nuage", etc. La société a fait de nous des machines: boulo, métro, dodo. Il faut vivre dans l'avenir, ne pas se retourner sur le passé et éviter de se laisser aller au moment présent. C'est un leurre. Où peut-on trouver sont bonheur sur un lendemain incertain?
Quant aux jeunes, ils préfèrent surfer sur le net, faire du sport ou autre loisirs sans jamais "perdre" son temps à rêver. Car pour eux, c'est une perte de temps, ils le conçoivent comme les adultes: rêvasser = oisiveté.
Mais, "l'excès d'activité engendré par nos sociétés matérialistes peut être pathologique et nous mener à la déprime."
Chaque chose produite ont d'abord été rêvée. C'est la première étape. Il faut imaginer pour créer. Sinon, on ne crée jamais rien de solide. "La rêverie booste l'action."
Ainsi, il est nécessaire de s'écouter, de méditer et surtout de rêver. Que ce soit de rêver à l'impossible (devenir incroyablement riche), inventer des scénarios (que ce soit de s'imaginer vivre une aventure ou de rencontrer l'amour), ou encore de rêver à tout ce qui nous remonte le moral, tout ce qu'on aime, c'est cela être humain. Ensuite, c'est vital.
Parfois, l'intériorisation passe par le fameux journal intime. Coucher ses mots, ses idées, ses sensations, pour mieux se connaître et savoir comment agir.
N'écoutez plus les personnes pessimistes, les matérialistes, les terre à terre déprimant, et rêvez, rêvez à ce que vous voudrez, à ce que vous aimez. Plus vous rêverez et plus vous vous rapprocherez de la vérité.
Pour trouver son bonheur, il n'y a pas de miracle, il faut rester positif, être conscient de soi et des autres, et mettre à profit les petits moments perdus (comme le fait d'attendre, que ce soit à un rendez-vous, dans les embouteillages, ...), et surtout ne jamais se laisser abattre.
Alors, méditer, rêver et vous verrez...
3 commentaires:
Complètement d'accord! Or il est difficile de rêver de nos jours, lorsqu'on se le permet, on se sent marginal, différent et on culpabilise de ne pas être comme les autres qui sont terre à terre. Je suis une rêveuse, est ce bien ou mal, je ne sais pas !
Je suis une rêveuse inconditionnelle. C'est un besoin, je suis créative, j'ai une imagination débordante et si je ne me laissai pas rêver, j'exploserais.
Le rêve est bien souvent plus vrai que le réel. Donc, ayant longtemps observer les gens autour de moi, je peux le dire: il est nécessaire de rêver. Etre différent des autres, c'est ça trouver son bonheur. Suivre les autres, servir de mouton, c'est une grave erreur, c'est faire preuve de faiblesse.
Certaines personnes ne comprennent pas les gens différents, mais c'est pourtant grace à eux que l'art existe (par exemple). Les poètes, les écrivains, les peintres, etc: tous sont des rêveurs.
Alors oui, pour moi, rêver, c'est la porte d'entrée de l'esprit, de l'âme... Refuser de s'écouter, enfermer l'imagination, c'est vivre dans la vie que la société veut nous imposer. Si l'homme se démarque des animaux, c'est par son esprit, alors autant qu'il s'en serve. :)
Tellement vrai! Mes plus grandes fiertés sont les rêves que j'ai réalisé. Je laisse mon imagination vagabondée et de là me viennent des idées dont je ne me serai jamais cru capable. Cela me vient comme çà sans y penser réellement puis j'essaie de construire le projet quand il est réalisable et je passe à l'action. Voilà comment je fonctionne. J'ai essayé d'être terre à terre or je m'ennuie et je déprime. J'ai besoin de créer, d'avoir envi même si des fois cela ne sert à rien ou même si je me plante. J'ai besoin de laisser mon esprit libre!
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